— Commençons la leçon ! ( Prince d'Or & Peter + autres )

Je voyais la scène, mais ne dit rien, c'était bloquer, après se que m'avais fait Danger, je ne pouvais pas le pardonner de si-tôt.. Puis aussi j'avais trop trop mal à la bouche pour sortir un seul mot. Je me mis au trot dans l'enclot et glissa d'un coup. Je me relevais et sagement me mis dans un coin, et mis mon sabot pour dire " J'me repose ", je mis la tête contre la barrière et fermer les yeux doucement.

Les voix des hommes, hurlants, m'excitaient, m'apeuraient aussi. Je tirai, le blanc des yeux visibles, alors que l'on me menait au centre de la carrière. Cendrillon, elle, n'en avait rien à faire, de tout ça. Je secouai la tête avec une puissance non retenue, avant de m'arrêter. Le palefrenier me ressangla avant de partir, me lâchant.

*Libre? Alors cours coco!

Il avait fait une erreur, en me "rendant" la liberté. Bien que sellé et bridé, je partis en sauts de mouton dans la carrière, de quoi faire peur à n'importe quel cavalier, vu mes bonds puissants. Je finis par m'arrêter d'un coup, arquant l'encolure fiérement.

Je soupirais et marchais vers l'étalon, accompagné du palefrenier qui le tint. Je monta sur lui et pris les rênes fortement, mais pas à lui déchirer la mâchoire.

« Aller, au trot ! »

Je donnais un coup de talon.

Je regardais la scène et soupira.

( pas d'idée xD )

Les hommes me rattrapèrent. Tout de suite tenu, le jockey m'enfourcha, resserant l'étreinte dans ma bouche grâce à l'action des rênes. Il me mit un coup de talon en me demandant le trot. Plus que du trot, il obtint un départ en sauts de moutons, suivi d'un galop fond de patate. Pas de coups de talons u.u

Je tirais sur les rênes, je le dresserais d'abord ! Il se conduirait plus
en sauvage, mais en cheval de manège ! Et ça je le jure de suite.

- T'arrête de faire ton couillon !

Je donna un coup de cravache sur son épaule.

Je regardais toujours la scène, un homme entra dans mon parc et me mis
une selle et un filet, encore ? Il me mis juste des bandes et me monta,
il me monter en enclos ? On sortit de l'enclos, et là il se dirigea vers on ne sait
où, ha ben une balade xD

L'homme tira sur les rênes. Avec le mors doux que j'avais, il pouvait y aller. Serrant les dents, je bloquai l'action de main, m'arrêtant néanmoins en pilant. Il m'hurla dessus, ce qui eut pour effet de me faire plaquerles oreilles contre la nuque, l'air agressif. Ensuite, il me donna un coup de cravache sur l'épaule. Là, s'en fut trop. Je me cabrai, presque à la perpendiculaire, avant de mettre une ruade violente. Rattérrissant sur mes quatre membres, j'arquai l'encolure, prenant le mors dans les dents. Mors un poil grand, pendouillant, car je réussis presque à passer la langue par au-dessus. Je réussis quand même à le bloquer entre mes molaires. Il n'avait plus d'action, le grand malin! Et puis, vu ma force, je lui déconseillé d'user de nouveau de la sienne. Arrêté d'aplomb, fumant, j'attendais, chauffant sous la selle.

Là il m'énerver, je descendis car un autre jockey arriva pour le monter
et celui-ci n'avait pas la main morte.. Je dit à l'étalon:

- Moi j'ai était sympathique, mais celui-ci jamais ne le sera.

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David Wonder

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J'arrivais et de suite pris un filet avec le mors dure, et de dressage
professionnel ( inventer, il tue le palais, les dents, la bouche, tout ! )
et lui rentra directement dans la bouche en lui enlevant l'autre,
je tirais sur les rênes et monta sur lui. La cravache en main, je n'étais pas ici
pour rien faire.

Je marchais tranquillement, il me fit faire plusieurs exercice, mais nous sortons
pas du haras pourquoi ? D'un coup il m'emmena près de la carrière, mais
aussi des écuries. Là bas il y avait un van, et un vétérinaire.
J'arrivai et l'homme descendis. Et il dit:

- Je crois que c'est la meilleur chose à faire.
- Oui.

L'homme parla. Je ne comprenais rien de ce qu'il me disait, mais il me parlait. Un autre homme arriva, un filet en main. Il me changea de mors et monta, cravache en main. Quoi? Un mors dur et une cravache? Il voulait jouer à ça? Il serait pas déçu, parce qu'il fallait savoir me mater, et j'avais pas envie d'être gentil. A peine fut-il assis que je me cabrai, battant l'air de mes antérieurs, les yeux fous de rage. Ils osaient me voler ma liberté pour me garder ainsi? Je secouai la tête, encore cabré, pas prêt de redescendre. Qu'il bouge, j'étais prêt à me tuer pour le tuer avec moi. Vicieux? Non, sauvage ou presque, qui déteste ce genre de dressage agressif et sans respect.

Je tirais sur le mors de suite et lui donna trois ou quatre coups de cravache,
je tirais tellement que je sentais plus mes mains x) Je lui dit:

- Tu vas t'arrêter saleté !

Le vétérinaire me caressa et sortit une seringue qui me mis à la cuisse.
Je me sentis tomber au sol, et par la suite ils me fermèrent les yeux.
Je me sentis froidir, et d'un coup, je ne pensa plus et ne sentit plus rien.

L'homme tira dans ma bouche en me cravachant. j'hennis de rage, laissant ma tête partir à la renvers, me laissant partir à la renverse. Certains, dans ses cas-là, disent " ça lui apprendra à se retourner" mais cela ne m'apprend rien car si je devais le refaire, je le referai. Je me relevai avant de m'ébrouer, sans même m'inquiéter de mon cavalier ou d'une éventuelle sanction.

Une odeur sinistre flotta dans l'air. Celle de la Mort. Mes muscles se raidirent, car l'odeur était mêlée à celle de ma bien-aimée. J'hennis, rage et chagrin mêlés. Rage de n'avoir su la protéger, chagrin de ne pas m'être fait pardonné. Je baissai la tête, piteux, avant de me cabrer, dernier hommage à ma reine disparue.

L'étalon n'en faisait vraiment qu'à sa tête. Je tirais encore et encore, cravachant
encore plus fort, laissant des marques à l'étalon. Je lui dit avec rage:

- Tu vas te calmer imbécile !

Ils me tirérent jusqu'au boxe, et pendant environs 15 minute on entendis rien.
Jusqu'au moment où, l'ont entendus un hennissement, sacrément petit et endormis.
C'est alors que les gens sortirent et s'accoudèrent à la barrière de la carrière.

- Nous avons réussi
- J'en suis fière.
- Elle ne souffrira plus.
- Ouais.
- Une petite intervention, et tout est fini.
- Tu as raison.

Ainsi ils partirent dans leurs camions blancs, me laissant dans mon boxe,
me réveillant avec un bandage à la jambe.
Non, je n'étais pas morte, en me faisant sauter je m'était casser un os de la
jambe, et ceux-ci m'avais opérer pour que je repuisse marcher.
Me faire marcher ? Pour voir le problème bien sûr

( haha, tu t'est fait rouler 8D )

L'homme était resté accroché à moi. Il continua de tirer sur les rênes, et aussi à me cravacher. Il voulait jouer à ça? Je pris le galop, après cette levade, collant mon flanc à la lice, me mutilant, espérant mutiler la jambe du jockey. Est-ce qu'un jour quelqu'un me comprendra, ou suis-je obligé de rester esclave de la cruauté à vie?

Que l'étalon n'espère rien, je lui donna un coup encore plus gros, avec
toute la force de mon bras et de mon poing, sa retentit à mon avis dans toutes
les terres ! Un grand " SLACK " se créa, je tira sur les terres a un point
qu'il ne pourrait jamais s'imaginer, je voulais qu'il s'arrête, et sa aller pas cesser
tant qu'il continuerais son con.

L'homme continua de s'énerver. Un grand claquement de cravache sur ma croupe m'énerva au plus au point. Je m'arrêtai, plutôt que de me jeter comme un furieux en avant, avant de me mettre à tirer sur la main de mon cavalier, me mettant la bouche au sang. Lorsque je me suis appuyé un moment suffisant à mon gout, je fis un bond en l'air, à au moins un mètre. Une fois en l'air, je jetai la croupe avec violence.

Je tenais tête à la bête, une fois le saut d'un mêtre au moins fait,
je tirer sur les rênes comme de rien n'était, la bouche en sang je dit:

- On s'épuise ?

Moi, m'épuiser? Pas de si tôt, coco. Regarde mes flancs, je ne souffle pas. Regarde mon encolure, je ne transpire pas. Si tu voyais mes yeux, tu aurais peur. Je préparai une bonne petite cabriole, ou un truc du genre, pour aller foutre en l'air ce q=cavalier de mes deux * . Soudain, l'idée du siècle me vint. Pourquoi ne pas me tuer dans l'oxer? Oui, bonne idée ^^ Je pris le galop, bouclant le mors dans ma bouche sanglante, de biais sur l'oxer énorme. Sans même me redresser, je fis un saut, à plat, pour passer au dessus. La réception fut rude, mais j'étais passé. Un bon truc à le déculasser, le jockey.

Un autre coup de cravache, les rênes dans une main, je continuais de le faire
tourner en bourrique, mais je prenais mon mal en patience là !
Je lui tira dans les dents, le plus possible. Je lui dit:

- Tu m'écoute, et se sera fini pour tout le temps !

L'homme continuait. Non, je ne plierai guère face à cette brute. Sans qu'il puisse s'y attendre, je jetai le dos, l'arrondissant. Dur dur de tenir là haut, je pense. Qu'il ne me touche plus.

Je tomba sans faire exprès, mais une fois lever, je tira fermement sur les rênes,
et lui donna de vives coups de cravaches l'insultant de tous les noms,
la force que j'avais, y était dans chaque coup de cravache.

L'homme tomba. Enfin! J'avais mis du temps, à le faire tomber celui-là. Mais il se releva vite, tirant sur mes rênes, me cravachant. Il était à pieds, l'avait-il oublié? Je me cabrai, battant des antérieurs, le boxant avec méchanceté.