« Bouge pas, et ferme là. - Danger ; Cendrillon ; Jerezano

Un matin rude, très rude. Il faisait chaud, et froid à la fois. De plus, le soleil taper dans mes yeux couleurs bleu ciel, et à la fois or pur.. Je me levais difficilement, peut-être même un peu trop difficilement, le boxe était trop étroit pour une jument comme moi désormais. Un homme vint me donner des granules. Rapidement manger, il me mit un beau licol simpliste, et me conduit aux près. Une fois là bas, je me mis dans un galop allonger pour m'arrêter au fond.

( Je voulais faire long, mais la flemme maintenant XD )

J'avais eu ma ration, j'avais eu mon foin. Pourtant, j'étais d'humeur massacrante et je tapai dans mon boxe avec rage. Un palefrenier un peu suicidaire vint et m'enfila un licol, au prix d'un doigt bleu. Je secouai la tête, satisfait de moi-même, avant d'être emmené, direction la pâture. Je me mis à caracoler et à me montrer très dangereux, car le jeune fou qui me tenait m'avait mis un simple licol éthologique, pas mon chiffney ou mon anti cabreur. C'était pas pour rien que j'en avais!

Après une route chaotique vers la pâture, je partis comme une balle à peine la barrière ouverte, le licol sur la tête, mais pas de longe, car le mousqueton de sécurité avait lâché. A force de galop, je vis Cendrillon et je pilai net, le regard mauvais caché derrière mon long toupet pourtant fin. Mon encolure musclée ondula, emmenant ma crinière dans sa danse.

Jerezano - J'étais libre, et pourtant venais m'aventurer dans les terres des humains. En arrivant près des écuries, j'avais sentis des odeurs délicieuse, c'était celle de la magnifique Cendrillon. Alors pour ne pas faire trop effet surprise, je me mis dans un galop, passant inaperçu derrière les arbres. Je m'arrêter au fond du pré, mais pas dedans bien sûr ! Je vis un étalon faire son con devant ma chéri, mais ne serais ce pas se vieux Danger ? Je soupirais et sifflota, et ronfla pour que la jument me regarde. D'ailleurs elle me regarda et vint directement me voir, j'avais ce sourire mesquin en regardant Danger.

Un étalon gris, vaguement familier, arriva. Je n'avais pas échangé un mot avec Cendrillon, et j'en étais bien content. Le nouveau venu, un sauvage, appela la jument qui alla jusqu'à lui. L'air indifférent mais n'en pensant pas moins, je me mis à brouter, n'ayant que faire de l'expression vainqueure de mon concurrent. Je me contentai de fouailler de la queue avec agacement avant de relever la tête et d'hennir méchament, tant pour la grise que pour son stupide grison. Je finis par gronder agressivement en me dirigeant d'un pas décidé vers l'entier. Je n'avais plus que d'yeux pour lui, quiconque se trouvit sur mon chemin était balayé d'un coup d'épaule. Arrivé à la barrière, je levai la tête pour hennir tout en me cabrant.

-Qui es-tu pour me regarder ainsi? Sais-tu au moins qui je suis?

Jerezano - Notre cher petit Danger arriva, balayant la belle Cendrillon de l'épaule, elle ne dit rien notre petit ange Je regardais l'étalon ignorant d'un coup la jeune jument se décalait, presque à partir. Je répondis tranquillement à l'étalon pie qui était agressive, non par mon comportement, mais parce-que je toucher quelque chose qu'il lui rester dans son cœur, malgré qu'il en dise le contraire.

- Oui, Danger ; L'ex petit copain de Cendrillon, et piqueur de juments. Ne me reconnaitrerais tu pas ?

-Ah oui, c'est toi! Oh, je te rassure, tu n'as pas vraiment perdu au change. J'ai une fille, que je n'ai jamais vraiment pu voir faute d'entente. Cendrillon porte son quatrième poulain, du quatrième père différent. Je te la laisse bien volontier. Tu m'excuseras, je ne reviens pas sur ton nom, vu le peu d'importance que tu as à mes yeux. Tu profites de ta liberté, au moins? Ce serait bête que les Hommes viennent te lan reprendre...

C'était une subtile menace, glissée avec méchanceté, comme toute la phrase, résonna dans la plaine. Un palefrenier tourna la tête mais continua son chemin après avoir tardé à regarder le sauvage.

[Il s'enfonce dans sa bêtise, encore et toujours ^^]

Jerezano - Toujours aussi con ce cheval, je m'approchais un peu plus des barrières et lui dit doucement:

- Ils ont l'habitude de me voir, ils me montent quand ils veulent, je suis un peu un " Dieu " pour eux en faite. De plus, si tu ne veux plus Cendrillon, moi il n'y as pas de soucis, je l'aime beaucoup, elle est gentille comparé à toi et ta bêtise.

Cendrillon - L'étalon me protéger, je fini par pivoter sur mes postérieurs et me mettre au pas, clignant d'un œil à Jerezano avant.

Un rire méprisant sortit de ma bouche, à l'adresse de ce pseudo dieu. Je secouai la tête, amusé, avant de découvrir les dents au passage de la jument. La tête abaissée sous mon encolure "brisée*" au niveau de la nuque, j'ouvris la gueule et refermai mes mâchoires puissantes sur la barrière. Bien entendu, dans ce genre de situation on ne réfléchit qu'à une chose: contrôler ses ardeurs sanguinaires. J'en avais oublié que la barrière était électrifiée... Très malin, je ne vous le fait pas dire. Malgré la douleur de l'électricité sur ma langue et mon palet, je ne fis que gronder, un peu comme si je grondai après l'entier. Je finis par lâcher la barrière, après quelques secondes seulement, juste le temps que la jument passe, en fait.

-Je préfère garder ma bêtise, comme tu dis, qu'une jument qui laisse sa croupe trainer un peu partout. J'te souhaite bonne chance, avec ton futur fils ou ta future fille.

Un rire glaçant m'échappa et je secouai la tête avant d'arquer l'encolure et de prendre le trot vers un espace moins pollué par ce sauvage qui se laissait faire.

[* au lieu d'avoir l'encolure ronde dans son intégralité, le cheval à l'encolure dressée, comme s'il se défendait. La nuque est le point le plus élevé, comme pour un cheval rond, mais elle retombe avec la tête, dont le chanfrein se trouve à la verticale. L'attitude du cheval est plus figée, moins décontractée. Cela montre un cheval en bagarre. Infos personnelles! A ne pas mettre dans un sujet de galop ou d'examen sur le thème du cheval, car certaines parties de la description sont partiellement erronées!]

Jerezano - Franchement il n'y avait aucun soucis pour ma part, l'étalon était qu'un abrutis fini u.u Je ronflais doucement des naseaux, presque si je laissais pas un petit rire s'échapper de ma gorge. Je regarda la jument, qui semblait plutôt boulversé pour je ne sais qu'elle raison.

- Cendrillon, vient. Ne reste pas seule (:.

Cendrillon - Je soupirais de la discution des deux étalons et doucement me mis au pas vers l'étalon, et lui adressa un petit sourire.

- Cela ne me dérange pas plus.

-Oh, c'esg mignon! Ca lui ressemble bien, d'obéir comme une chienne!

Ma vois glaçante cingla l'air, je ne me retournai même pas d'ailleurs. Le nez dans les paquerettes, j'attaquai avec détachement l'herbe plus ou moins tendre de ce début de printemps. Ce n'était pas agréable, avec la bouche pateuse et abimée, mais aucune douleur ne transparaissait. J'étais un roc, un véritable roc, assez caractériel pour ne pas laisser transparaitre cette légère douleur.

De fois, on peut se demander quoi Danger comme ça, aussi comme comme de débile

( Recule, cela je le faisais j'arrive même plus rien dire et écrire O.O Quel l'impression de ne s'appel plus rien écrire, horrible, j'ai mis crois seule à me rappel a récrit le mit " Débile " )

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