E&E rencontre paradisiaque.

J'errai dans les terres de l'Est sur une plage paradisiaque. Crinière au vent, libre comme l'air ; je retrouver ma nature sauvage. Je me roulais dans le sable si fin et si chaud.
En galop allonger je m'approcher de l'eau ; je me baigner cela me rafraichissais. En sortant de l'eau je secoua ma crinière brune. Je me mis a marchais, mes sabots s'enfonçaient dans le sable et laisser la trace de mon pas derrière moi. En faisant cette balade je me disais que chaque pas que je fais m'avance vers la mort et qu'il serait temps de me construire un avenir et de profiter de la vie. Je voulais me faire des amis et avoir un poulain, être mère avant de mourir. Je savourais ce moment privilégier en espérant en vivre de meilleurs avec mes amis. Je me sentais si bien dans ces terres envoutantes que je finis par m'assoupir sur mes rêveries sous cette chaleur assommante.

Saleté d'antérieur, que me fais-tu souffrir dans la chaleur! Et oui, comme toujouts, je boitais bien bas, j'avais mal aujourd'hui en plus. Qu'elle idée de venir sur la plage, hein?? Simplement que je suis en traque, j'ai reperai des traces de pas. Tracant l'inconnu, j'avançai à pas de loups. L'air chaud faisait voler mes crins épais et commençait à tremper ma belle robe. Mon oeil verron détecta bientôt une présence.

Tentant de masquer ma boiterie -peine perdue - je m'avançai vers l'inconnue assoupie. Joli tableau sur cette plage paradisiaque! Mais bon, que voulez-vous que j'y trouve de si bien?? Mon passé?? Rêvez pas, il est loin et oublié depuis des lustres! Pour moi, en tout cas! Je ne sais même plus ce que c'est de se sentir entouré, je ne sais même pas si une jument m'attendant. Peut-être suis-je déjà père?? Non, j'ai eu mon accident bien trop jeune!

Je regardai l'inconnue somnoler. Je n'avais pas le coeur à la réveiller, vu que j'aimais pas qu'on me réveille!

Un courant d'air fais me réveilla soudain. Je rêver, de la vie et la mort, de l'amitié et l'amour. Je réfléchissais à pourquoi l'on rit et pourquoi l'on pleure. Je dresse l'oreille, j'entendais des pas, je sentais une présence mâle ; je me retourna. Un étalon Pie overo palomino s'amener par ici. Il boitais le pauvre, il était si jeune pour avoir une si triste mine... Peut-être voulais t' il rester seul et méditer. Avez t' il une famille ? Venez t' il d'arriver sur les terres de World Paradise ?
J'étais trop curieuse pour le laisser filer et continuer son chemin. J' aller a sa rencontre pour lui demander ce qu'il se passer.

- Alors jeune étalon ? Tu as une bien triste mine... Je me présente, je suis Emraude, je viens d'arriver. Quel et ton nom ?

Peut être aurai-je mieux fait de m'abstenir de l'accoster ; il n'avait pas l'air d'apprécier ma présence. Je voulais lui offrir un peu de chaleur et de réconfort...

Brave jument, ne t'en fais pas, j'ai bien failli ne pas m'arrêter. Le regard sans éclat et sans envie, j'entendis l'autre me parler. L'antérieur droit replié sous corps pour le soulager, mon regard commença à pétiller un peu. Je répondis après un léger mouvement descendant de l'encolure.

-Je suis Eldorado. Enchanté Emraude.

Les bribes d'air chaud me faisaient suer. Le regard sur l'horison, je me dis une fois de plus que quelqu'un m'attendait peut-être ailleurs...

Regardant la mer au loin et les moutons s'échouer sur le sable devenu humide, je trouver cet étalon bien froid et pas très bavard. Est-ce parce-qu'il est triste ou est-ce moi le problème ?

- Ça ne va pas ? Tu as l'air accablé... Moi aussi étant jeune j'ai du affronter les difficultés de la vie seule. Je suis née sans amour et cela laisse derrière moi une longue tristesse. Tu sais, le bonheur nait du malheur il faut juste que tu sache l'affronter.

Je me suis dis qu'en me confiant en premier, il serai peut -être plus rassuré... Sur ses quelques mots j'avais envie de m'éclipser mais j'attendis, peut-être aller t'il accepter mon aide...

La jument me parla de nouveau, cela me sortit de mes pensées. Je l'écoutai, les oreilles pointées vers l'avant.

-Toi tu te souviens de ta naissance. Moi j'ai l'impression d'être un fantôme, qui n'a jamais existé avant il y a quelques mois... Ma vie, c'est rien, on peut la rayer du monde sa se verra même pas...

Moi, désagréable?? A la base je suis gentil et sympathique, mais bon, là j'ai mal, je suis fatigué, trempé... Et j'aime pas le sable...

[Aaaaaaaaaaaaaah! C'est pourri x[ ]

- Il faut que tu te dise que tu es
un étalon génial et quoi que tu es, quoi que tu sois, tu dois vivre
! Pour le meilleur et le pire ! Je suis sur qu'avec de la volonté tu
ira mieux et ta jambe aussi. Tu n'a pas d'amis proche ? Quelqu'un qui
peut t'aider ? Tu sais l'union fait la force.

J'espérai qu'il aurai une issue pour s'en sortir. Qu'il ai quelqu'un pour le protéger. Il avais l'air mal et gêner de parler. Peut-être la chaleur, l'eau irritante ou encore le sable incrusté dans ses sabots lui déplaisaient. J'aller m'en aller pour le laisser tranquille et lui éviter ses désagréments. Mais je voulais l'aider et savoir ce qu'il avais. Peut-être était t'il trop fier pour accepter de l'aide ; de moi ou de quelqu'un d'autre. Je vais lui proposer mon soutien et s'il la refuse, je rebrousserai chemin et m'en irai... En me disant que je serai peut-être idiote de ne pas lui forcer un peu la main et le sortir de son pétrin mais je suis seulement moi, une jument, triste et seule. Peut-être allions nous nous revoir, ici ou ailleurs... Mais assez de 'peut-être' on ne sais pas ce que nous réserve l'avenir. Alors il faut vivre au jour le jour sans se poser de questions.

-Je sais bien tout ce que tu me dis... Mais non, je n'ai personne, mais non, mon antérieur n'ira pas mieux. Je ne sais même pas si quelque part quelqu'un me cherche. Je ne sais même plus si Eldorado est mon véritable nom, je ne sais même pas ce qui m'est arrivé pour que je sois dans cet état. Désolé de te le dire comme ça, Emraude, mais je suis seul, sans personne qui peut m'aider. Ou peut-être que si, mais en tout cas je ne le sais plus, à cause de ce foutu éboulement...

Je me mis au pas, vers l'eau, la tête basse. Je voulais d'abord me rafraichir et profiter de jeux d'eau, j'appréciais cela, mais peut-être que je n'avais pas toujours apprécié?? Me retournant vers Emraude, je lui fis signe de venir avec moi, avant de lui parler, tout en boitant.

-J'vais pas te planter là, non plus! Allez viens!

J'appréciai beaucoup cette jument, très gentille. Elle était plutôt mignonne aussi, tout à fait à mon gout d'ailleurs! Avais-ce toujours était mon type de jument, alors-là mystère et boule de gomme, comme ma vie d'ailleurs!

[Ta réponse précédente était très bien! Tu vois que tu y arrives!]

Sa proposition me toucha. J'allai sur ce pas le rejoindre.

- J'aimerai te proposer mon aide. Tu sais j'ai aider un jeune mâle il y a 2 ans de ça. J'ai donner corps et âme pour le sauver. Puis il rencontra une jeune jument qui lui montra que le monde avait tellement de surprises. Puis du jour au lendemain, il est partit avec elle ; sans même me dire au revoir. J'ai était blesser de la façon dont il m'avais trahis. J'avais laisser ma vie de côté pendant 1 an et lui me le rend comme ça. Du coup pour moi, plus rien n'a eu d'importance. Tu sais, je ne propose pas mon aide a n'importe qui étant donner les trahison que j'ai vécu.

Je le trouvais attendrissant. Aller t' il accepter ? Ou est-ce que j'allai me prendre un vent une fois de plus ? Mais un de plus ou un de moins, je ne suis plus a ça près. Ce qui est sur c'est que si il refuse il n'aura pas de deuxième chance, cela m'étonnerai. Je suis rancunière et j'en est marre de me faire duper et d'aider et faire confiance aux autres chevaux pour qu'après il me jette. Mais je ne le pense pas comme cela. Il est si gentil et si innocent. Il ne connait presque rien de la joie de la vie ; il a tellement souffert, pourquoi serai t' il mesquin ? J'attendais avec appréhension sa réponse...

-C'est très gentil de ta part, Emraude, mais non merci. C'est un chemin que je suis obligé de suivre seul, car il n'y a que moi qui peut retrouver le fil de ma mèmoire perdue. Je suis très heureux que tu m'es proposé ton aide, mais tu ne peux malheureusement pas m'aider... Si tu avais pu, j'aurai accepté ton aide sans hésiter.

Ne sachant pas si elle était ou non rancunière, je pris des gants pour le lui dire. C'était malheureusement vrai, ce n'était pas que je ne voulais pas qu'elle m'aide, mais plutôt que je ne voulais pas qu'elle se rende compte que pour ce genre de problèmes elle servait à rien. J'en étais vraiment chagriné, mais je ne pouvais rien y faire.

Profitant de ce bain d'eau chaude, je sentais mon antérieur brûler. Comme si j'avais été mordu pour quelque chose. Une odeur de sang s'éleva dans les airs et je finis par regarder mon membre: il y avait deux petits trous de chaque côtés, écartés d'environ deux doigts humains. Ma tête me tourna et je sortis de l'eau en titubant. Mes membres finirent par ne plus répondre et j'eus l'impression que me corps flotta. Non, j'étais effondré dans le sable, le corps tremblant. Un serpent avait dû me mordre. J'espérai juste qu'il n'avait pas mordu Emraude.

[Un peu d'action! J'aime quand sa bouge!]

- D'accord, comme tu voudra mais sache que je serai la si tu veux parler.

Après tout, je n'aller pas me prendre la tête pour ca. Si il ne veux pas d'aide, trop fier pour cela ou parce-que sois disant on ne peut l'aider tant pis. J'ai fais ce que j'avais à faire, maintenant, libre a lui de décider ; ma porte est ouverte.

Je sentais quelque chose autour de mon membre avant je pris crainte et je me mis a taper avec mon sabot tant dis que Eldorado partit en boitant sr la plage. L'eau redevenu calme. Je rejoint Eldorado.

- Ça va ? Qu'est ce qui se passe ?

Je le lécher un peu pour enlever le sang autour... Je ne savais pas quoi faire ! Je n'avais jamais vécu cette situation... Crying or Very sad

Mes muscles se tétanisaient, mon souffle se faisait rauque. Emraude me parla et je fis un effort pour lui répondre.

-Serpent... Mordu... Mon... Antérieur...

Ma phrase, complétement décousue, ne voulait pas dire grand chose, mais c'était tout ce que j'avais su articuler. Ma robe se tachait d'eau, mon antérieur mordu se tendit et je sentis que je ne pouvais plus le bouger. Ca devenait pareil pour tout mon corps. J'avais peur, de cela!

- T'inquiète pas, ca va aller... Respire doucement... Calme toi... Il faut que tu te détende, sinon tu souffrira encore plus...

C'est plus facile à dire qu'à faire, mais il fallait vraiment qu'il se calme. Sa respiration devenais insupportable.
Il avais chaud, par conséquent je me suis avancer jusqu'à la mer ; je pris de l'eau que je versa sur son visage. Puis pour faire de l'air frais, je me suis mise a lui souffler délicatement sur son museau...