♔ Serais-ce l'heure des problèmes ? ( Danger & L'éthologue )

L'éthologue arrivait tout juste au club, un sac rempli, Le Boss arriva et lui
dit rapidement:

- L'étalon doit être dans la carrière, je voudrais que tu le rende un peu
plus docile avec les jockeys. Merci, de plus j'aimerai
que tu créer un spectacle avec deux chevaux ! Donc mon étalon, et
un autre que tu choisira, les écuries sont pleines à toi de choisir.

L'éthologue suivit alors les instructions.

Oh non, pas encore! J'avais été trainé de force jusqu'à la carrière. On avait troqué mon habituel chiffney avec un licol en corde lourde, renforcée sur les naseaux. Quelle poisse! J'avais donné assez, pour aujourd'hui, et voilà qu'on me faisait re-bosser, après m'avoir donné l'illusion d'avoir quelques repos mérités. Non, j'étais coincé en carrière, en licol. La poisse, franchement! Ce fut pire lorsqu'un homme arriva, un sac bourré d'objets divers à son côté. Quoi qu'il me veut lui? Qu'il m'approche pas! Pour bien le montrer, j'allai à l'opposé de la carrière, l'air farouche.

L'étalon n'était point commode, mais l'éthologue alla rapidement vers lui étant
donner qu'il était bloquer. Il lui enleva doucement le licol, non pas de ça$
en éthologie. Il se mit vers la portière, et mit le licol dans le sac.

Il regardait l'étalon, tranquillement, prenant son temps.

L'homme me coinça et m'enleva le licol. Montrant les dents, je voulais le dissuader de m'approcher. Alors qu'il se retournait pour ranger le licol, je partis au galop vers le centre de la carrière, pour avoir des possibilités de fuite démultipliés. L'homme me regardait, je n'aimais pas ça, pas DU TOUT!

L'éthologue ne renoncer pas, il s'en fichait, il attendrait le moment
propice. Il avait l'habitude lui What a Face

L'homme ne bougeait pas. Je sentai frémir mes muscles sous son regard. Bisaremment, je ne voulais plus attaquer. J'étais presque blasé, en fait, qu'il ne bouge pas d'un poil. Laissant mes oreilles retomber sur le côté et mes gencives couvrir de nouveau mes dents, je regardai d'un regard neutre, quoi passablement ennuyé l'homme.

L'homme s'étira un peu et prit dans son sac un morceau de carotte, le tripotant
un peu, et lui lançant aux sabots, une très bonne idée en tête.

L'homme s'étira et prit dans son sac un objet, qu'il tourna entre ses mains. Il me le lança alors aux sabots et je fis un bon en arrière en ronflant des naseaux. Regardant ensuite d'un peu plus près l'objet, je vis que c'était un bout de carotte, que je m'empressai d'engloutir.

Une fois la douceur dégustée, je secouai la tête de haut en bas, faisant onduler ma longue crinière qui m'arrivait en dessous du poitrail, sur mon côté gauche, sans un épi.

- Tu aime ça, hein.

Il finit par en jetait un autre bout, un peu plus près que toute à l'heure.

L'homme parla et je plaquai les oreilles un instant à ses paroles, avant de voir un autre bout de carotte, plus proche de lui. J'y allai néanmoins, l'encolure dressée et les oreilles pendantes. La douceur disparut bien vite, et je retournai de l'autre sens. Il ne m'aurait pas à coups de carottes non plus! Pas facile, certes, mais gentil, pour une fois!

Bon, sa lui plaisait pas plus, tant pis hein. L'éthologue fini par lui lancer le dernier
bout de la carotte, qui sans faire exprès lui tomba sur sa croupe, et resta dessus.
L'homme faillit tomber en arrière tellement qu'il en était mort de rire x)

L'homme jeta le dernier bout de carotte sur... MA croupe Oô le pire, c'est qu'il voulait pas tomber celui-là! Alors je fléchis les postérieurs, jusqu'à m'assoir. Une fois sûr que le bout de carotte était au sol, je me relevai pour le manger, avant de regarder avec curiosité l'homme qui riait aux éclats. Quoi? J'ai fait quoi de drôle moi?

Quel zozo celui-là. Il sourit et doucement posa un regard sur le palefrenier
qui emmener le cheval que l'homme avait choisis.

L'homme sourit simplement et regarda les palefreniers qui arrivaient avec une jument. Ah non, faut pas pousser le bouchon trop loin non plus! Pourquoi une jument, d'ailleurs? Oô

La jument elle, trottinait complètement sur place. L'homme alors la pris et l'attacha
a la rembard, il attendrait encore un peu pour les mettre dans la carrière ensemble.

Quoi que! La jument trottinait sur place. J'arquai l'encolure avant de rejeter la tête en l'air en hennissant. C'était un hennissement grave et masculin, qui signifiait mon contentement et plus à voir une jument. L'encolure rejetée en l'air, je partis en sauts de mouton vers la barrière, m'arrêtant par un slidding stop avant la barrière, à presque rien. Je ronflai des naseaux, intéressé, en effleurant le nez de la jument. Autant faire connaissance, vu qu'elle était là!

La jument étant une très bonne jument, savait que l'étalon devait s'intéresser
d'abord à l'éthologue avant elle, elle recula et violament hennis, un hennissement
de jument en bref x) Elle mit les oreilles en arrières, et ensuite les remis droites.

-Ca va pas la tête?

J'étais surpris, avant de secouer la tête avec dépis. C'était une jument totalement domestique et soumise à l'homme.

-Tu connais pas la liberté, toi. T'es une de leurs domestiques... T'as pas compris qu'ils ne servaient à rien, les hommes, sauf à nous priver de ce que nous devrions être. Je suis Danger pour mes amis sauvages, qui vivent au loin, et Prince D'Or pour ces stupides bipèdes. Tu peux m'appeler comme bon te semble. Et toi, t'es qui?

J'arquai l'encolure avant de me cabrer face à l'homme en hennissant comme un fou furieux. A cause de LUI, j'm'étais fait jeter u.u

La jument ignorer complétement l'étalon et lui dit:

- Je suis une jument de spectacle, et j'aime les bipède, stupide
étalon u.u pense d'abord a se que tu fais, avant de penser avec ton sexe !
Abrutis va !

Et BIM ! Dans ta face x)

Je pinçai les naseaux blessé, avant de secouer la tête avec rage.

-C'est toi qui est stupide, nenette.

J'avais craché avec méchanceté ces mots et je tapais désormais le sol d'un antérieur, agressif et énervé. Le vice venait de prendre les dessus et, les yeux fous, je défiai ce qui se trouvait aux alentours, même l'homme et la jument. Le premier qui approchait se ferait manger

L'homme regardait, et sifflota juste, quant à la jument, elle lui dit:

- Affronte la réalité en face baby. What a Face

Je fis volte face, les yeux fous, la mâchoire crispée dans un rictus fort peu gentil. Je dénudai les dents avant de plaquer les oreilles contre le crâne et de fouetter l'air de la queue, passablement énervé. D'un bond sauvage, je bondis contre la barrière et, à une vitesse effroyable, tendis l'encolure pour sentir les tissus mous de l'encolure de la belle entre mes dents. Je serrai, serrai jusqu'au sang, comme un assassin ou un fauve l'aurait fait pour transpercer une artère, quaf que je nb'avais pas les dents adéquates.

La jument se laissait faire, lui rendant la tâche encore plus facile, en tendant
son encolure, elle lui susurra doucement:

- Plus fort, ne te gêne pas.

Une voix légèrement.. Sensuelle.

La jument, complétement imbécile, me tendit son encolure et susurra sensuellement que je devais continuer. Mes hormones commençaient à travailler sérieusement, surtout qu'elle était belle comme une déesse. Sur le coup de l'excitation pure, je me cabrai mais rattéris mal: le passage de la sangle coincé contre la barrière. A ben zut alors! Il ne me serait même jamais venu à l'idée de lâcher la jument, je ne voulais pas! Je mis un coup de reins, mais plutôt que de revenir du bon côté, ce sont mes antérieurs qui touchèrent le sol, mes postérieurs en l'air. J'étais dans une position très inconfortable.

Mouhaha, la jument est diabolique. Elle lui dit:

- Tu commence déjà le spectacle ?

J'hennis, l'homme vint décrocher la sangle, et prit la selle par la même occasion

( sangle donc selle hein ? xD )

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