Ecrire l'histoire de Cendrillon face au Danger comme on écrit un conte de fées. Pv Cendri' et Dan'

J'étais là, sans aucun pouvoir, si j'en avais j'aurais pus le guerrir, mais je suis juste une pauvre petite jument.. Je voulais lui annoncer quelque chose, mais était ce réellement le bon moment ?

- Danger...

J'étais bien contre Cendrillon. Je me reposai, mes tremblements s'estompaient doucement. Ma respiration était rauque et sifflante, mais j'allai bien. Cendrillon me parla, ou plutôt dit mon nom. J'avais l'impression qu'elle avait quelque chose à dire mais qu'elle n'osait simplement pas.

-Oui mon coeur?...

Je savais pas du tout comment lui dire, ni même comment il allait ré actionner...

- Je sais pas si c'est le bon moment de te le dire mais...

Je soupirais et dit:

- ... Je suis pleine...

Cendrillon semblait avoir peur de ma réaction. Elle pensait que se n'était pas le moment de me le dire. Dire quoi?? Soudain, après un soupir, elle m'annonça qu'elle était pleine. L'annonce me fit l'effet d'un coup de fouet et je me retournai brusquement. D'un ton presque venimeux, je lui répondai:

-De qui?? Et tu t'es laissée faire??

Mon on venimeux cachaiot non pas de la colère, mais de la tristesse. Ainsi mes peurs c'étaient révélées fondées?? Les larmes aux yeux, je me redressai pou écarter ma tête de Cendrillon.

Il douter de moi.. Sûrement, et je le comprenais, je me levais, doucement je voulais me rapprocher de lui mais si il voulait pas alors ne le forçons pas.

- Par Summer Limon au Haras, et non je ne me suis pas laisser faire. Je t'aime toi Danger, je t'en pris crois moi !

Si il me rejetait, qu'il croyait que j'étais une catin, je n'aurais qu'une seule et unique réaction. Tuer celui qui était dans mon ventre, et par occasion moi !

Quand elle me répondit, toute ]ma colère fondit d'un coup. Ses paroles étaient si pleines de vérité que je ne pus qu'y croire. Reposant l'encolure au sol, je lui murmurai:

-Excuse-moi...

Je fermai les yeux. Tout cela était si irréel, si bisarre, si... Waouh quoi! Ma chérie allait avoir un poulain, donc moi aussi, même s'il n'est pas génétiquement mon bébé.

- Ce poulain, que veux-tu en faire??

Je voulais être sûr de ce que voulait Cendrillon avant de me prononcer.

Je lui répondis doucement.

- Si tu veux pas de se poulain, se que je comprendrais, alors je le tuerais... Avant même qu'il naisse...

Je pris un petit temps et dit:

- .. En me tuant avec.

Je la regardai avec effroi. Elle voulait se suicider à cause de moi! OMG! Je pris un air plus calme avant de répondre.

-Il n'y a pas à savoir ce que moi je veux. C'est toi la mère.

J'étais très sérieux. Mon regard verron était dur comme de la glace. Ce n'était pas à Cendrillon que j'en voulais, mais à Summer Limon, qui l'avait sailli sans son consentement. Si un jour je venais à le recroiser, je vous dit même pas dans qu'elle état il sera après que je sois passé!

Encore très choqué par ce que venait de me dire ma jument chérie, je fermai les yeux sous l'effet de la douleur. Un cri de douleur m'échappa tandis que je me tordai de douleur au sol.

J'aurais du rien dire, j'aurais du me taire complétement. Je me mis a marcher vers le lac, je crois que je n'aurais même pas du continuer à vivre, je me regardais dans le reflet, je donna un coup de sabot.

- Tu est conne Cendrillon... Tu est très conne ! TROP CONNE !

Je soupirais et me mis rapidement au galop vers l'étalon souffrant.

- Qu'est ce que je peux faire... Danger.. ?

J'entendais Cendrillon galoper et me parler, mais j'avais trop mal pour comprendre ou lui répondre. Tordu de douleur, je gigotai sur le sol en hurlant toute ma douleur. Des larmes coulaient de mes yeux et mon pelage se tachait de boue et de sueur. J'étais mal, j'avais mal. Maintenant j'avais peur en plus, peur de perdre Cendrillon pour toujours.... C'était ma plus grande hantise. La douleur ne ma lâchait pas et je m'épuisai...

Je soupirais, je savais plus quoi faire... Partir, loin de Danger ? J'étais vraiment une catastrophe pour lui. Je me reculais et lui dit doucement:

- Danger... Je pars...

Je me retourna et me mis au trot mais lui dit avant.

- Je suis un vrai " Danger " pour toi mon cœur... Je préfère partir avant que sa ne continue.

Je me mis au galop, pleurant plus que je ne le pouvait.

La jument me dit qu'elle partait. Puisant l'énergie au plus profond de moi, je lui murmurai quelques mots.

-Restes, Cendrillon, restes. Ce poulain ne sera jamais un obstacle à notre amour...

Ma voix était faible, à peine plus qu'un murmure. La douleur m'avait désormais quitté, mais je me sentais vide et épuisé. Lorsque j'entendis la galopade et les pleurs de ma belle, des sanglots m'étouffèrent. De nouveau, je me mis à murmurer, pour moi seul.

-Sans elle, autant arrêter de me battre, autant. Si je vis encore, c'est pour elle...

Puisant dans ma volonté pure et simple, j'hennis pour rappeler ma belle.

-J'ai besoin de toi, Cendrillon!

Je savais que je faisais une erreur, mais je me retourna et me mis vers l'étalon arriver vers lui, je lui dit:

- Je suis une catastrophe pour toi. Je reste là, repose toi.

Je m'allongeais, et ferma un peu les yeux.

J'entendis Cendrillon revenir et me parler. Elle se coucha contre moi et je me laissai aler au sommeil. A vrai dire, c'était plutôt le sommeil qui me prenait dans ses filets. J'espérai juste que Cendrillon serait encore là à mon réveil et que l'on resterait ensemble. J'avais une conversation à avoir avec elle. Ce n'était pas pour me prendre la tête avec elle ou lui en faire de toutes les coulers, c'était juste pour savoir ce que l'on ferait après.

La nuit s'annoncer froide et rude, je le sentais comme pas possible. Dès que la nuit fis vite tomber, et que la lune sortit avec ses étoiles et ses nuages, il eu un gros vent. Danger dormait, moi j'avais mal au ventre, mais sa ne pouvait pas être les contractions vus que ce n'était pas l'heure ni le jour d'ailleurs. Je fermer les yeux affrontant le vent.

La nuit fut longue et froide...
***
Le soleil rendait l'horison rose lorsque j'ouvris les yeux. Mon dos me brûlait beaucoup moins, j'étais moins fatigué. Mais qu'est ce que j'étais courbattu!! Avec un effort de volonté, je me relevai. Les yeux tournés vres l'Est et le soleil levant, j'accueillais ce nouveau comme j'accueillerai bientôt cette nouvelle vie si Cendrillon le voulait ainsi.

Je repensai aux évenements de la veille. Le combat contre le lynx me laisserait des marques quelques temps, mais au moins j'avais protégeait mon amour. Lorsqu'elle m'avait fait cette annonce, j'avais réagi trop violemment, je le savais pertinemment. Mais qu'y pouvais-je, si je l'aimais à ce point-là??

-Je me suis comporté comme un idiot...

Et oui c'était la conclusion qui s'imposait... Le coeur lourd, je reposai mon regard sur la belle.

Je dormais, toujours dans mes rêves, enfin je rêver pas trop, je restait stable, ne pensant à rien. Cependant, j'entendis la phrase de Danger, j'ouvris un œil, puis un autre, détendit mon premier membre, le deuxième, le troisième et enfin le dernier. Je me levais et me colla à lui, me serrant fort, plus je serrer, plus j'avais mal au ventre, mais dès que je m'enleva jamais toujours mal....

- Non, c'est normal que tu a ré-actionner comme ça.

La jument se serra à moi.

-Désolé de t'avoir reveillé... Maintenant on va pouvoir avoir une conversation posée, non??

Je pris une grande inspiration avant de rendre l'étreinte de Cendrillon.

-Que veux-tu faire de ce poulain??

Je soupirais et dit:

- Pas grave.

Pour le poulain, que faire ? C'est simple ^^'.

- Si tu ne le veux pas, alors on fera tout pour ne pas l'avoir. J'aurais un poulain de toi, si se n'est pas le cas, alors j'en aurais jamais.

-Ta réponse ne me convient pas, Cendrillon! Que veux tu faire toi!

J'étais décidé à savoir ce qu'elle voulait! Je savais déjà ce que je ferai, quel que soit sa réponse. Si elle voulait le garder, je le reconnaitrait comme mien et il ne saurait jamais qu'il avait un père captif. Si elle n'en voulait pas, je ferai en sorte qu'il meurt. A la naissance ou avant, mais il mourrait, si tel était son choix.

Je ne savais pas quoi dire, si il je disait que je le voulais, il croirait que j'aime Summer Limon, et je voulais pas qu'il crois ça. Je voulais pas que le poulain meurt, c'était mon premier, et bon...

- Je sais pas du tout...

Je soupirais lentement.

-Ecoute, quoi que tu me dises, j'ai compris que c'est moi que tu aimais, car sinon tu ne serais jamais restée à mes côtés cette nuit. Alors cesse de te tracasser et donne-moi ta réponse, celle que ton coeur t'hurle. Je le vois bien, que tu cherches une réponse, une solution pour que je ne t'en veuilles pas. Alors sache que quoi que tu décides, je serai à tes côtés. Je t'aime Cendrillon, et je peux te jurer que ce futur poulain ne sera pas un obstacle à notre amour!

J'avais sorti tout cela d'une traite, en la regardant droit dans les yeux. Je voulais qu'elle comprenne que je ferai tout pour la voir heureuse et épannouie; tout!

Quand il déballa sa d'un coup, je fus bien surprise, je lui dit:

- Je sais réellement pas quoi dire... C'est mon premier poulain, mais il vient pas de toi... Et si tu n'en veux pas, je n'en aurais jamais...

-Si tu le veux, ce poulain, garde le. Dis-moi juste une chose: Comment dois-je réagir??

Je posai un regard pétillant sur ma douce.

-L'année prochaine nous aurons un poulain, si tu le souhaites toujours.

J'avais tout de même posai un dilemme à la jument, avant: savoir ou essayer de savoir ma réaction pour ce petit-être qui allait voir le monde. Je savais que si elle le souhaitais, je le reconnaitrai comme mien. Mais il pouvait aussi savoir qu'il n'était pas désiré, si c'était cela que ma belle voulait. Les cartes étaient désormais entre ses mains.

Je sentais que j'avais mal au ventre, de plus en plus surtout...

- Comme tu le sens.

Je tomba au sol, de mal. Je m'allongea tel une morte, j'avais trop mal, je sentais mon ventre qui voulait partir, ou tout simplement... Je sentais que le petit arrivait...

- Danger, je crois que c'est pas le moment là.. Je crois que ce n'est pas du tout le moment...

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